Présentation des bâtiments remarquables qui composent le patrimoine local
Le patrimoine religieux de la Ville de Rives est riche de ses édifices et de son histoire.
Parmi les plus beaux édifices religieux que compte le patrimoine rivois, pour la plupart conservés ou restaurés, on distingue :
Parmi les plus beaux édifices religieux que compte le patrimoine rivois, pour la plupart conservés ou restaurés, on distingue :
- Les Vitraux de l'Eglise Sainte Valère
- La croix de mission à proximité de l'Eglise de Rives.
- La chapelle des Papeteries.

7ème verrières : Jeanne d'Arc (1412-1431)



Un hommage particulier doit être rendu à la maison du maître compagnon tailleur de pierre, édifice marquant le patrimoine rivois. En effet, cette façade fut un chef d'oeuvre de compagnonnage. On y relève plusieurs symboles maçonniques. La maison Blanc se situe au 117 de l'avenue Jean Jaurès. Elle fut construite en 1862 par François Blanc, maître tailleur de pierres, compagnon du tour de France. Cet homme est à l'origine de la lignée d'entrepreneurs du bâtiment dont le constructeur de l'Eglise de Saint Valère, un second François Blanc. Le dernier représentant fut Aimé Blanc, qui exerça jusqu'en 1980. | ![]() Façade de la maison Blanc |
Le patrimoine rivois a la chance de posséder deux cadrans solaires :
Le cadran solaire avec méridienne
Le cadran solaire de la Pérollerie
Le cadran solaire avec méridienne
![]() | Ce cadran solaire créé en 1870 par FERRARIS indique l'heure pour la cité et en plus le midi pour le méridien de Paris. Positionné sur la route nationale reliant Grenoble à Lyon, le cadran permettait au voyageur de mettre sa montre à l'heure ou au passant de la connaître. Comme tous les cadrans, il rythmait la vie quotidienne. Ce cadran solaire, très effacé, a été restauré par l'Atelier Tournesol avec l'aide du Conseil Général, sur l'initiative de la Ville de Rives en collaboration avec l'ARDEP. |
Le cadran solaire de la Pérollerie
"Les heures sont lentes aux affligés, rapides aux heureux." Voilà la devise inscrite en latin sur le cadran solaire du mur d'un très vieux bâtiment situé sur les bords de la Fure à la Poype. Ce bâtiment faisait partie de la forge de la Pérollerie créée en 1573, et était la maison d'habitation du maître de forges. Daté de 1766, le cadran solaire a été fidélement restauré il y a quelques années par le peintre Pierre Buffa. Pendant cette restauration, on eut la surprise de découvrir un premier cadran non daté. les bords de la Fure à la Poype. | ![]() |
Le patrimoine industriel ne peut être dissocié du patrimoine de la Ville de Rives.
Son importance doit être rendu à l'activité papetière rivoise, qui a lancé et longtemps dominé l'industrie rivoise. (voir Les beaux papiers de Rives : le début de l'industrie rivoise.)
Parmi les monuments que nous laisse l'activité des papeteries :
Roue à Aube de la Grande Fabrique
Centrale hydroélectrique de la Poype
Son importance doit être rendu à l'activité papetière rivoise, qui a lancé et longtemps dominé l'industrie rivoise. (voir Les beaux papiers de Rives : le début de l'industrie rivoise.)
Parmi les monuments que nous laisse l'activité des papeteries :
Roue à Aube de la Grande Fabrique
![]() | A côté du château de la Grande Fabrique, il est possible de découvrir une partie du système hydraulique nécessaire au fonctionnement de la papeterie. On voit encore un aqueduc dont une seule roue a été conservée. |
Centrale hydroélectrique de la Poype
C'est un des plus vieux sites de production d'énergie mécanique actionnée par l'eau de la Fure à Rives. La construction de la retenue actuelle intervient fin XVIII° siècle. La centrale elle-même date de 1900. | ![]() |
Le patrimoine rivois englobe également le champ du souvenir. Ce sont les différentes tombes de l'ancien cimetière de Rives qui nous permettent cette remarque.


Monument Orthodoxe
- La sépulture de Séraphin BUISSET.
- Les tombes des résistants tombés pour la plupart au cours des combats de 1944.
- La tombe de la marquise ARCONATI VISCONTI Marie, intellectuelle libérale et mécène protectrice des artistes.
- Un monument Orthodoxe, tombe de Nicolas Ivanoffyudine de 1927.(Image de la forte colonie russe résidant à Rives dans les années 1925.)
Le Bâtiment.
Objets conservés en Mairie.
Plusieurs objets, symboles du patrimoine rivois, sont conservés en Mairie :

L'Hôtel de Ville est construit en 1924 sous la municipalité de Séraphin BUISSET. |
Objets conservés en Mairie.
Plusieurs objets, symboles du patrimoine rivois, sont conservés en Mairie :
- Objets gallo-romains :objets fibules, épées, retrouvés lors des travaux vers le quartier du Plan (voir le plan de Rives).
- Buste de Jean Jaurès (1859-1914)(Moulage en plâtre réalisé par Albert JOUANNEAULT.)
- Buste de Jules Guesde (1845-1922).
- Buste de la Marianne de Paul LECREUX.



- Filigranes : Offerts par M. Christian Clerc, le filigrane est le signe (lettre, figure ou dessin) qu'on peut apercevoir par transparence sur certaines catégories de papier.
